Franse tekst (again)

Voor degenen die het hier wat volgen, ik heb nog een Franse tekst. Hij is een beetje korter deze keer Zou iemand die eens willen nalezen?

Philipp Mac Larra, vingt-sept ans et représentant de commerce, est en voyage pour son travail à Londres. Quittant son hôtel, il heurte sans le vouloir une femme dans la porte tournante.
Il s’excuse mais la jeune femme lui accuse d’avoir volé ses bijoux il y a quelques mois. La police lui arrête et au commissariat la femme racont son histoire : Mac Larra a mis une annonce dans les journaux pour trouver une gouvernante, ele a réagi et avec une faux-fuyant/ subterfuge (wat klinkt het best ?) il l’a convaincu de lui donner ses bijoux. Philipp Mac Larra nie/renie tout mais on trouve quarante-six femmes qui disent la même chose et lui reconnaient. Pourtant, il ne l’a fait pas mais le brave homme innocent est condamné à huit ans de prison. A l’age de trente-cinq ans, il est finalement relâché mais sa vie est ruiné : sa femme a divorcé, ses parents l’ignorent et ses amis l’ont oublié.

Il décide d’essayer à se constituer des alibis pour prouver s’il n’était pas lui, mais personne veut encore avoir quelque chose à faire avec lui. Et puis un matin, un policier frappe à sa porte. Quatorze plaintes ont été déposés contre lui à nouveau, pour la même raison.
Il reçoit deux ans de prison à nouveau, à nouveau sa photo dans tous les journeaux, à nouveau l’infamie, le désespoir, les murs, les barreaux, les cauchemars.
Puis une nouvelle plainte est introduit, par un bijoutier à qui Mac Larra a essayé de vendre les bijoux volés. Mais à ce moment, Mac Larra est encore en cellule.

L’innocent et le vrai coupable se rencontrent dans le commissariat. Ce sont des sosies.
Mac Larra est acquitté et il reçoit un dédommagement.
Il devient un vieillard grabataire qui ne reconnut plus personne et répond sur tout : « C’est pas moi »