Hallo,
ik zit momenteel op Erasmus in Granada en ik moet voor het vak "littérature française" enkele gedichten analyseren. Nu heb ik hierbij heel wat problemen om de stijlfiguren te vinden zoals metafor, personificatie, enjambement, antithese,... Kunnen jullie mij misschien wat helpen ? Ik heb al enkele dingen aangeduid, als die fout zijn, mogen jullie die verbeteren en nieuwe dingen mogen jullie signaleren,
groetjes Sarah
Dans ce val solitaire et sombre
Le cerf qui brame au bruit de l'eau,
Penchant ses yeux dans un ruisseau,
S'amuse à regarder son ombre.
De cette source une Naïade
Tous les soirs ouvre le portail
De sa demeure de cristal (= ?)
Et nous chante une sérénade.
Les Nymphes que la chasse attire
À l'ombrage de ces forêts
Cherchent des cabinets secrets
Loin de l'embûche du Satyre.
Jadis au pied de ce grand chêne (symbole de pouvoir, immortalité ?)
Presque aussi vieux que le Soleil,
Bacchus, l'Amour et le Sommeil
Firent la fosse de Silène. (c'est quoi ?)
Un froid et ténébreux silence
Dort à l'ombre de ces ormeaux,
Et les vents battent les rameaux
D'une amoureuse violence. (antithèse ?)
L'esprit plus retenu s'engage
Au plaisir de ce doux séjour,
Où Philomèle nuit et jour
Renouvelle un piteux langage.
Ici l'amour fait ses études,
Vénus dresse des autels,
Et les visites des mortels
Ne troublent point ces solitudes.
Corine, je te prie, approche ;
Couchons-nous sur ce tapis vert (=l'herbe?)
Et pour être mieux à couvert
Entrons au creux de cette roche. (qqchose de sexuel ?)
Ouvre tes yeux, je te supplie :
Mille amours logent là-dedans,
Et de leurs petits traits ardents
Ta prunelle est toute remplie. (sexuel ?, c'est quoi prunelle ?)
Amour de tes regards soupire,
Et, ton esclave devenu,
Se voit lui-même retenu,
Dans les liens de son empire.
Si tu mouilles tes doigts d'ivoire
Dans le cristal de ce ruisseau, (= ?)
Le Dieu qui loge dans cette eau
Aimera, S'il en ose boire.
Présente-lui ta face nue,
Tes yeux avecques l'eau riront,
Et dans ce miroir écriront (le miroir= l'eau ?)
Que Vénus est ici venue.
Approche, approche, ma Driade !
Ici murmureront les eaux ; (personification?)
Ici les amoureux oiseaux (enjambement)
Chanteront une sérénade.
Prête moi ton sein pour y boire
Des odeurs qui m'embaumeront ; (???)
Ainsi mes sens se pâmeront (???)
Dans les lacs de tes bras d'ivoire. (les lacs de tes bras ?)
Je baignerai mes mains folâtres
Dans les ondes de tes cheveux
Et ta beauté prendra les voeux
De mes oeillades idolâtres.
Ne crains rien, Cupidon nous garde.
Mon petit Ange, es-tu pas mien !
Ha ! je vois que tu m'aimes bien
Tu rougis quand je te regarde.
Dieux ! que cette façon timide
Est puissante sur mes esprits !
Regnauld ne fut pas mieux épris
Par les charmes de son Armide.
Ma Corine, que je t'embrasse !
Personne ne nous voit qu'Amour ;
Vois que même les yeux du jour
Ne trouvent point ici de place.
Les vents, qui ne se peuvent taire, (personification?)
Ne peuvent écouter aussi,
Et ce que nous ferons ici
Leur est un inconnu mystère.
Alvast bedankt !!!!!!!!!!!!!!
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