Hoi ik heb een paar vragen, ik heb een franse tekst hieronder.
ik heb daar wat vraagjes over.
Wat houden bookmakers in?
Wat bedoelen ze met monopolie in dit artikel?
Willen ze in frankrijk bookmakers verbieden?
Willen ze het wedden op uitslagen verbieden?
Wat bedoelen ze dan met die sponsors op die shirtjes?
Waar slaan de internet sites op, waarom staat er de
hele tijd parijs online?
Wat heeft het met voetbal te maken?
en hier is de tekst:
C’est, peut-être, le plaidoyer de la dernière chance : dès cette semaine, la gouvernement doit fournir à la Commission européenne ses argument pur défendre le monopole français sur les yeux. Sommée de s’expliquer sur son protectionnisme, attaquée par de puissants bookmakers, qui souhaitent voir s’ouvrir le marché – pour l’heure illégal – du pari sur Internet aux joueurs hexagonaux, la France tente de faire face. Car au-delà du magot de la Française des yeux (FDJ) et du PMU, les deux bénéficiaires du monopole, c’est une partie du financement du sport amateur national qu’il s’agit de protéger.
Tout a commencé, de manière feutrée, au début de 2005. Quelques clubs de football de ligue 1 sont contactés par les émissaires de bookmakers domiciliés en Grande-Bretagne, à Malte, à Gibraltar ou Autriche. Ces derniers leur proposent des contrats de sponsoring. L’affaire est intéressante : ces sociétés, cotées en Bourse et partenaires de clubs prestigieux (le Milan AC ou le Werder Brême), brassent des millions d’euros.
Alertée, la ligue de football professionnel (LFP) distribue alors une circulaire mettant en garde les clubs : en arborant les couleurs des sites de paris en ligne, ils violeraient le monopole français sur le jeu. Douze d’entre eux, dont Monaco, Nice, Nantes et Toulouse, signent tout de même de contrats, dont la valeur globale avoisine 15 millions d’euros. Certaines équipes portent des maillots aux couleurs de leur nouveau sponsor, d’autres se contentent d’accords plus discrets.
Pour les autorités françaises, c’en est trop. Le 15 septembre, deux responsables autrichiens de la société Bwin sont interpellés la proximité de Monaco – Club Dont ils sont le partenaire principal – et placés en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire niçoise. On leur reproche la violation du monopole. Ils ne seront relâchés qu’après le versement d’une caution de 300000 euros chacun.
Décidé à frapper un grand coup, le gouvernement français, par les voix de son ministre délégué au Budget, Jean-François Copé, de son ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, et de son ministre de la Jeunesse et des Sports, Jean-François lamour, rappelle, par ailleurs, à la LFP l’illégalité de la publicité pour les sites de jeux en ligne. Le message est reçu : les clubs renoncent aux maillots frappés de marques Bwin (AS Monaco), 888 (Toulouse), Gamebookers.com (Nantes). France, 1 ; bookmakers, 0…
L’affaire ne vas pas en rester là. Le 12 octobre, la commission européenne, soumise, il est vrai, à la pression du lobby des bookmakers, relance les dés. Charlie McCreevy, commissaire irlandais chargé du marché intérieur, se dit -Préoccupé par le fait que les prestataires de paris sportifs soient confrontés à des incertitudes juridiques-. Il demande à la France d’expliquer les restriction imposées à des bookmakers détenteurs de licence et - établis dans d’autres Etats de l’Union -. Paris a deux mois pour présenter son dossier. France, 1 ; bookmakers, 1…
Mais l’heure est venue de répondre : le gouvernement doit transmettre à la commission un argumentaire détaillé. -il s’appuie, pour l’essentiel, sur la jurisprudence de la cour européenne de justice de 2003-, explique un conseiller du ministre des sports. Ce texte précise que les pays peuvent conserver leur monopole, à condition de ne pas chercher à augmenter le nombre de joueurs. -je ne vois pas comment la France pourrait plaider cette retenue, réplique Me Thibault Verbiest, avocat des principaux sites de paris en ligne, alors que la FDJ multiplie les Publicités, y compris en direction de la jeunesse-. L’argument été pris au sérieux côté français. Depuis plusieurs semaines, des arguments sont avancés pour démontrer que le gouvernement, loin de ne penser qu’à préserver sa cagnotte, prend soin des joueurs. Bref, que la France privilégie l’équilibre de sa population plutôt que ses seules finances. De rapports parlementaires en enquêtes des Renseignements généraux, l’accent est donc mis sur la prévention et la lutte contre l’addiction aux jeux.
Il n’est pas certain que cet intérêt soudain pour les adeptes des paris en ligne suffise à convaincre Bruxelles. D’autres argument seront les bienvenus. - l’un des éléments à prendre en compte, précise ainsi Jean-François Lamour, est la notion de solidarité, qui découle du prélèvement de 2.23% sur les gains de la Française des jeux et qui va aux petits clubs amateurs, pour renforcer leurs structures, et aux collectivités locales, pour construire des équipements sportifs-. Un intéressement qui engendre environ 200 million d’euros par an. Des fonds qui peuvent profiter à une association de tir à l’arc en Ardèche ou à un club de handball de la région parisienne. L’Europe appréciera. Mais les concurrents de la FDJ annoncent qu’ils seraient également prêts à faire des efforts et à participer, eux aussi, au financement du sport amateur. Peut-être même à augmenter le mise.
Le dénouement de cette affaire n’est pas prévu avant le printemps. Mais on peut, d’ores et déjà, prédire que le sport professionnel, en particulier le football, en sortira plus riche. -Si les clubs n’obtiennent pas l’argent des bookmakers, on peut supposer que la DJ se montrera plus sensible à leurs doléances financières-, remarque un familier du dossier. Qui veut parier ?
---------------------------------------------------------------------------------
Hartstikke bedankt voor de mensen die hier een kijkje naar willen nemen
jullie zouden me er erg mee helpen